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Commerce infos - Infos locales

Commerce - 14 Avril 2022

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Saint-Nazaire - Commerce. Du poisson frais se pêche en distributeur automatique !

Sabrina Tebba, pêcheuse professionnelle, vient d'installer un distributeur automatique, dans sa poissonnerie Fruits de l'océan, avenue de la République. Preuve en est : les curieux rentrent dans son local pour mordre à l'appât d'un bon plat cuisiné par ses soins.

Depuis le 3 février, la pêcheuse professionnelle ravitaille régulièrement les casiers réfrigérés de son distributeur avec le fruit de sa propre pêche. Depuis 6 mois, elle travaillait sur son idée de ce distri-poisson. Aujourd'hui sa boutique est fermée et elle peut se consacrer à la pêche. Un métier passion qu'elle a découvert en 2015 en accompagnant en mer ses deux petits frères, marins pêcheurs.

Quand Sabrina n'est pas sur l'un de ses deux bateaux amarrés au port du Pouliguen et de Bouin en Vendée, elle est présente pour renouveler le stock : au minimum deux fois par jour avec la régularité des marées. Preuve que cela répond à une demande : les casiers se vident rapidement. Pratique pour tous ceux qui ont des horaires de travail compliqués ou qui ont une envie de manger un bon plat préparé le midi au travail.

Source : L'Écho de la Presqu'île, 18/02/2022

Saint-Nazaire - Mélanie voulait sa boutique rue de la Paix

La jeune commerçante travaille depuis deux ans sur son projet de magasin sportswear, yoga et fitness. Elle a ouvert Yog’n fit, convaincue que le commerce de centre-ville, c’est tendance.

À 25 ans, la jeune femme concrétise un vieux rêve, « celui d’ouvrir une petite boutique indépendante en coeur de ville. J’étais prête à différer mon ouverture de quelques mois, c’est rue de la Paix que je voulais m’installer ». Le commerce de proximité, elle y croit dur comme fer et plus encore depuis la crise du Covid. « On a besoin de commerces avec du conseil, du contact. Le consommateur fait plus attention à ce qu’il achète, c’est une tendance de fond. »

Cette conviction a conduit la jeune femme à se donner le temps et les moyens dans des salons, sur internet, des fournisseurs qui fabriquent des vêtements écoresponsables, 80 % de sa gamme.

Mélanie Dagorn a déniché des marques françaises qui fabriquent des leggings en filet de pêche ou plastique de bouteilles recyclés, une autre qui ne travaille qu’avec des cotons 100 % biologiques.

Cette passionnée de sport n’ignore rien de la concurrence avec la grande distribution. « Je suis forcément plus chers, mais je ne vends pas les mêmes produits, en qualité, durabilité. » Surtout, elle croit à la relation personnalisée au client.

Pour son projet, qu’elle n’imaginait pas concrétiser si tôt, elle a mis toute l’énergie de ses 25 ans, et actionné les outils d’aide à sa disposition : compte formation avec BGE, recherche de garantie de prêt bancaire auprès de France active, levée d’un prêt d’honneur auprès d’Initiative Loire océan. Mélanie a convaincu de la solidité de son dossier.

Source : Ouest-France, 5/03/2022

Saint-Nazaire - Atelier Pickto : l’art de recycler les matières

L’Atelier Pickto qui a ouvert en décembre tout près du Paquebot est une entreprise nantaise, installée à Chantenay qui recycle des matériaux en bijoux et accessoires. Céline Rosinga et Sylanie Robert en sont les créatrices. Elles travaillent avec la recyclerie Stations-Services et Emmaüs pour leur approvisionnement. Leurs matières premières sont des chutes industrielles notamment de la fabrication automobile. « Des rideaux, des bâches de camions, des tapis de sol de voitures, des sièges de salle à manger, des robes de chambres de mamies… » énumère Céline Ronsinga.

ils deviennent des sacs à main, cabas ou pochettes, des portefeuilles et des porte-monnaie.

La création se fait sur place. Les collections de l’Atelier Pickto font très seventies. « On récupère pas mal d’objets de cette période. Il y avait une bonne qualité des matières qui étaient faites pour durer », souligne Céline Rosinga. Si l’Atelier Pickto s’est installé à Saint-Nazaire, c’est parce que l’entreprise a souhaité ouvrir un autre point de vente. «On a été un temps à Pornic mais nous n’avons pas rouvert la boutique après le Covid. Saint-Nazaire est tout près et on adore cette ville ».

Source : Presse Océan, 9/03/2022

Nantes : The Good Life, la nouvelle épicerie fine pour "un moment de pause sur la vie"

Depuis le 5 février 2022, Myriam Ferrand a installé rue Mercoeur son épicerie fine : The Good Life. "Partager des moments ensemble", c'est le leitmotiv de The Good Life. Un endroit qui se veut positif.

"Venir ici, c'est faire un moment de pause sur la vie", décrit Myriam Ferrand, propriétaire de l'épicerie fine.

Du mardi au samedi, elle accueille avec le sourire ses clients et souhaite faire de son commerce un véritable lieu de vie où "les gens veulent partager et rester". "Mon épicerie fine est dédiée à l'apéritif, au café et à des cadeaux : en somme des moments agréables de la vie", décrit la gérante.

La propriétaire de l'épicerie fine travaille dans le commerce depuis plus de 25 ans avec notamment des expériences dans le secteur de la mode ou encore de la beauté.

Source : actu.fr, 14/03/2022

Savenay - Des commerçants et artisans très dynamiques

Avec une année 2021 en manque d’animations, l’Association des commerçants et artisans de Savenay (ACAS) et sa cinquantaine d’adhérents comptent bien mettre les bouchées doubles pour l’année 2022. Après le défilé de mode du jeudi 17 mars, diverses programmations sont à l’agenda.

Du 23 avril au 7 mai, animations en centre-ville avec l’estimation d’une vitrine d’objets ou vêtements divers des commerçants participants. Du 2 au 18 septembre animations dans les commerces, à gagner une place pour une soirée cabaret, prévue à Équinoxe le 9 octobre.

Pendant le confinement, l’ACAS a travaillé sur son site internet et sur une application qui référence l’ensemble des commerces de l’ACAS ainsi que l’actualité des bons plans, la géolocalisation des commerces et dans un deuxième temps, la gestion du stationnement. Il sera aussi possible de trouver des infos sur la ville de Savenay. Cette application devrait voir le jour fin avril, début mai.

Source : Presse Océan, 21/03/2022

Clisson - Commerce. Ses vêtements permettent d’aller au travail à vélo

Formée aux métiers de la confection et passionnée de vélo, Sophie Blouin vient de créer ses premiers vêtements adaptés à ceux qui se rendent au travail à vélo. Des polos et des tee-shirts en lin qui évitent les odeurs de transpiration et permettent de rester chics. Du 99% français qu’elle vend sur son site internet Daily Bike.

D’abord parce que la Clissonnaise est une passionnée de petite reine. Principalement pour son aspect randonnée. Le vélo est aussi un moyen de déplacement pour se rendre au travail. Pendant une dizaine d’années, elle a travaillé à la Sadev à Geneston. Dans cette industrie textile, elle œuvrait à la confection et au patronage des vêtements. Contrainte de se réorienter après une liquidation, elle s’est reconvertie dans le e-commerce. « L’entreprise était aux Sorinières. Il m’est arrivé de m’y rendre à vélo, en prenant aussi le train jusqu’à Vertou, glisse-t-elle. Elle vend des accessoires de randonnées. Mais essentiellement venant d’Asie. Cela n’était plus en adéquation avec ma philosophie. Faire des activités nature avec des produits chimiques sur le dos, je pensais qu’il y avait plus cohérent ». C’est à ce moment-là qu’est né de son imagination, Daily bike.

Le projet se concrétise un peu plus d’un an plus tard, à l’été 2021. Elle trouve la clef dans le lin. «C’est une matière qui a les avantages d’être thermorégulant (tient chaud quand il fait froid et inversement), de sécher vite et de retenir les odeurs, » liste-t-elle. « Mais aussi, d’avoir un savoir-faire français. Nous sommes les premiers producteurs au monde. On sait le tricoter pour le mettre en rouleau comme l’entreprise Bugis (Aube) avec qui je collabore. On sait le filer avec la société Safilin qui relocalise même dans le Nord, ses unités polonaises. Et ensuite, le tissu est coupé et assemblé en vêtements à la Manufacture de Clisson à quelques kilomètres de chez moi ».

Pour l’instant uniquement en polo et tee-shirt à manches courtes. Des pièces soyeuses qui peuvent se garder sous les vêtements. « C’est pratique, éthique et chic » résume Sophie Blouin. Elle réfléchit à d’autres pièces à manches longues, comme les cardigans. Puis plus tard peut-être dans des jeans, en chanvre.

Source : L'Hebdo de Sèvre et Maine, 24/03/2022

Pays de Loire - Vente d’objets d’occasion : Yamuti s’occupe de tout

Cette plateforme bauloise vérifie et expédie les objets, vendus aux enchères à prix décroissant. On y trouvera des invendus de commerçants. De quoi se distinguer des poids lourds du secteur ?

David Gascoin a inventé un nouveau concept. Ce Baulois a créé avec quatre développeurs la start-up Yamuti. Une application de vente d’objets d’occasion et, bientôt, d’invendus. Ce qui change ? « D’abord, on s’occupe de tout, répond David Gascoin. Le vendeur créé une fiche sur son smartphone, avec une brève description. Ensuite, il nous envoie son colis, par la Poste ou en relais. Et on se charge de vérifier, prendre une photo, publier une annonce, vendre et expédier. »

Autre innovation : la gestion du prix. Il est décroissant et baisse chaque jour pendant trois mois. « Le but est de vendre vite, sinon, c’est le risque que ça ne parte jamais. Et, avec ce système, on est sûr de correspondre, à un moment, au prix du marché. » Au bout de trois mois, si l’objet n’est pas parti, il est donné en ressourcerie. « L’idée, pour le client, n’est pas forcément de faire de l’argent. Plutôt de se débarrasser de ce qu’on n’utilise plus, permettre une seconde vie et agir sur l’empreinte carbone. »

Que touche le vendeur au final ? L’entreprise retire des « frais de gestion », annoncés au départ mais variables selon le type de produits. « Cela permet de financer la logistique et l’expédition des colis, détaille David Gascoin. Cela comprend aussi l’envoi chez nous par le vendeur, à qui nous fournissons une étiquette qu’il a juste à coller sur son paquet. » L’entreprise retient également une commission de 10 % sur la vente. L’offre se limite, pour l’instant, à de petits objets de moins de 30 kg respectant certaines dimensions, « pour être envoyés facilement par La Poste ». Dans quelques semaines, l’application proposera aussi des invendus de commerçants locaux indépendants.

Source : Ouest-France, 26/03/2022

 

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